"Je me souviens d'avoir trouvé une définition de la télévision. C'est l'endroit où l'on invite Michael Douglas, au français impeccable, et à qui on demande de parler anglais, parce qu'il y a un traducteur."
Gilles Jacob, patron du Festival de Cannes, dans "La vie passera comme un rêve", éditions Robert Laffont, page 371.